Savez-vous que l’acné est la première pathologie cutanée devant l'eczéma, touchant pas moins de 3,3 millions de personnes de 15 ans et plus en France ? Parmi eux, dans les cabinets des dermatologues, 67% des patients se plaignent de traces et 37% de cicatrices*. Que faire quand l’acné a laissé des marques sur la peau ?
Il existe des moyens efficaces pour atténuer et même éliminer les marques indésirables laissés par les boutons d’acné, afin de retrouver une peau lisse et uniforme.
De quel type de cicatrices d’acné parle-t-on ?
Les cicatrices d’acné hypertrophiques se forment lorsque le corps produit trop de collagène pendant le processus de guérison de la peau, entraînant une cicatrice en relief.
A l’inverse, les cicatrices d’acné atrophiques se forment lorsque la peau ne produit pas suffisamment de collagène pendant la cicatrisation, laissant des creux ou des dépressions dans la peau. Les fameux cratères.
Les cicatrices d’acné pigmentées apparaissent lorsque l'acné provoque une hyperpigmentation de la peau à cause d’un traitement photosensibilisant et/ou d’une exposition aux UV sans protection suffisante.
Pour enlever les cicatrices d’acné : les 5 réflexes à adopter
Des traitements médicaux existent, sur recommandation d’un médecin esthétique ou d’un dermatologue : microdermabrasion, peeling laser injections… Mais vous pouvez aussi agir chez vous en adoptant une routine inside & out adaptée qui atténue les cicatrices et limite leur apparition à l’avenir.
1° Une bonne routine de soin
Sur une peau propre, nettoyée avec un lavant doux comme Le baume nettoyant, appliquez le sérum à la vitamine C antioxydante, unifiante et anti-tache, suivi de La crème barrière. Renforcés avec des actifs complémentaires sûrs, innovants et à l’efficacité prouvée, chaque soin crée les conditions optimales pour soutenir les fonctions naturelles de longévité de la peau, au quotidien.
2° Des actifs apaisants in & out
Outre l’acide hyaluronique hydratant, il est conseillé d’appliquer sur la peau des actifs apaisants tels que le Bisabolol ou la Niacinamide ou encore l’eau de rose anti-irritations. Choisissez des formules douces et non-comédogènes. Associez cette routine à la prise de compléments alimentaires : Pure Glow si vous souffrez d’acné juvénile, à base de curcuma et pipérine de poivre, et Balance & Glow si vous souffrez d’acné hormonale.
Chez Aime, nous conseillons d’associer ces compléments avec Clear Glow dont les actifs antioxydants inhibent la production de mélanine à l’origine des taches et atténuent les taches existantes. En quelques semaines, le teint est plus uniforme et l’apparence des cicatrices est atténuée.
3° Une protection solaire parfaite
Faux ami, le soleil assèche les boutons ponctuellement, mais à la rentrée, c’est l’effet rebond. Appliquez autant que nécessaire un écran solaire à large spectre pour protéger votre peau des dommages causés par le soleil, que vous soyez en plein traitement anti-acné ou que vous soyez en période post-inflammatoire. Les UV peuvent aggraver l'apparence des cicatrices en créant des taches brunes ou de l’hyperpigmentation. Surtout si vos boutons ont été percés ou triturés.
4° Une exposition régulière aux LED
Les LED (Light Emitting Diode) sont des lumières froides qui incitent les cellules à se régénérer, par photomodulation, avec une action différente selon la couleur. La lumière bleue antibactérienne agit sur les imperfections au moment de la poussée d’acné, la lumière jaune active la microcirculation veineuse et lymphatique et apaise les rougeurs, la lumière verte joue sur la pigmentation. Enfin, la lumière rouge stimule les fibroblastes qui produisent collagène et élastine, rendant la peau plus ferme et plus dense, mais aussi plus uniforme.
Le bar à LED du Glow Studio propose des programmes pour atténuer l’acné et les irrégularités dues à l’acné moyenne à sévère.
5° Une bonne hygiène de vie
Chez Aime, on en est convaincu : le lifestyle joue énormément sur l’apparence et le glow de votre peau. Évitez de fumer. Privilégiez une alimentation équilibrée au lieu d’une alimentation ultra-transformée, des sucres rapides (pro-inflammatoires), ainsi que certains produits laitiers.
*Source : Etude réalisée par la Société Française de Dermatologie, 2016. 20 012 personnes.
